Le but de celui-ci est d'aider un centre pour enfants et mamans en détresse en Slovaquie. Notre centre s'appelle ANO PRE ZIVOT, cela veut dire Oui pour la vie en Slovaque. Il est situé dans la ville de Rajecke Teplice à 240 km au nord de la capitale, Bratislava, près de la ville Zilina (3ème plus grande ville du pays).
Mais reprenons depuis le début... comment est né notre projet ?
Dans notre école il existe une association appelée Étudiants sans Frontières. Créée en 2002 par des anciens étudiants, elle aide les insaïens à mettre en place des projets humanitaires et sociaux en leur donnant un statut et un compte en banque.
C'est grâce à Étudiants sans Frontières que nous avons découvert un projet similaire au notre. Nous avons été très touchées par la présentation du projet Un traîneau vers la Slovaquie ( http://traineau-slovaquie.spaces.live.com) mené l' année dernière par des insaïens. Le but de ce projet été d'aider un orphelinat en Slovaquie en leur offrant des meubles, des équipements et des jouets pour gâter les enfants pendant la période de noël. Le fait que des étudiants comme nous s'investissent dans un projet de cet envergure nous a donné envie de suivre leurs pas et de réaliser à notre tour un projet humanitaire.
Comme ce premier projet nous nous sommes tournées vers la Slovaquie. Nous avons choisi ce pays car c'est un des pays les plus pauvres de l'Union Européenne
La population de Slovaquie est estimée à 5,4 millions d'habitants, dont 85,7 % de Slovaques, 10,6 % de Hongrois, 1,6 % de Tsiganes, 1,1 % de Tchèques, 0,6 % de Ruthènes, 0,1 % de Polonais et 0,1 % d'Allemands. Cette population est urbaine à 56,9 %. Les minorités nationales sont très implantées dans certaines portions du territoire slovaque: les Tsiganes dans la partie orientale et les Hongrois sur la frontière avec la Hongrie. Ces répartitions sont génératrices de tensions locales et soulèvent des questions quant aux maillages territoriaux à adopter.
La population est très jeune : 25 % n'avaient pas 15 ans en 1995 et connaît de nombreuses difficultés.
C'est pour cela que nous avons choisi de nous investir dans un projet afin d'aider les plus démunis de ce pays, en aidant un centre d'enfants et mamans en détresse. Des personnes qui ont du fuit leurs maisons, fuit la maltraitance d'un père ou d'un mari... Ces personnes ne sont pas seulement dans un désespoir financier mais ont eu également un traumatisme dû à cette violence.
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